MAIS VOILA TOUT A UNE FIN.....
Notre petite vie (heureuse) a duré jusqu'en mars 2010. En 2005, première alerte, mon mari a commencé à faire de l'insuffisance respiratoire. Les médecins n'ont jamais su d'où provenait cette insuffisance. Pendant 4 ans il y a eu examens sur examens sans connaître la provenance de cette maladie, car à chaque examen on nous disait "tout va bien, pas de problèmes". Bien sûr au fil des année cela s'est aggravé. Je me suis lancée à fond pour assurer un bien être maximal à mon mari, mais je n'ai jamais pensé qu'il s'en irait si vite.
Notre petite vie (heureuse) a duré jusqu'en mars 2010. En 2005, première alerte, mon mari a commencé à faire de l'insuffisance respiratoire. Les médecins n'ont jamais su d'où provenait cette insuffisance. Pendant 4 ans il y a eu examens sur examens sans connaître la provenance de cette maladie, car à chaque examen on nous disait "tout va bien, pas de problèmes". Bien sûr au fil des année cela s'est aggravé. Je me suis lancée à fond pour assurer un bien être maximal à mon mari, mais je n'ai jamais pensé qu'il s'en irait si vite.
Nous plaisantions souvent en parlant de la mort (je pense que peu de gens le font). Il me disait que c'était à lui à partir en premier, que c'était normal car il avait 8 ans de plus que moi. Nous avions encore concrétisé de très gros travaux pour la maison et moi je lui disais "Ne t'en vas pas encore, car j'ai besoin de ta paye pour tout payer". Drôle de conversation diriez vous, mais la mort ne nous a jamais traumatisé.
Je pensais quand même qu'il resterais avec moi encore une dizaine d'année, je ne l'ai jamais vu vraiment malade. En fait, comme c'était un homme qui ne se plaignait jamais, je ne savais pas vraiment quand il souffrait.
Lorsqu'un soir l’hôpital m'a appelé pour me dire qu'il était en réanimation, là seulement je me suis dis quoi ! (je ne sais vraiment plus) tout tourne tellement vite dans notre tête que dans ces cas là on pare au plus pressé. Après on verra.
